Johann Strauss II (1825-1899)

Johann Strauss II (1825-1899)

Fils de Johann Strauss I (1804-1849), Johann Strauss II, est né à Vienne le 25 octobre 1825.

À six ans, Schani (ainsi l’appelait-on compose sa première valse. Il apprend la musique en cachette de son père, ce qui est assez difficile, Strauss étant souvent en voyage à travers l’Europe. C’est l’organiste Drexler qui apprend à l’enfant les éléments d’harmonie, de contrepoint, de fugue… Presque sans effort, Schani devient un petit virtuose du violon.

Les années passent, le jeune Johann a maintenant 18 ans… Il est possédé par le désir de se produire en public, comme papa. N’étant pas encore majeur, il use d’un stratagème pour obtenir une licence officielle et le voilà bientôt à la tête d’un orchestre. Il lui faut trouver un lieu d’accueil. Impossible à Vienne où l’impresario de son père fait bonne garde et menace les propriétaires d’établissements de la ville : s’ils engagent Schani, Strauss père désertera leurs maisons et leur interdira même d’exécuter ses œuvres. Mais l’impresario omet d’exercer son chantage sur les guinguettes de banlieue et voilà le jeune Strauss engagé à Hietzing au casino Dommayer. Le soir de la première arrive. Nombreux sont les Viennois venus en curieux. Johann apparaît dans un habit flambant neuf : il monte sur l’estrade. Il leva le bras droit et… la soirée se termine par un triomphe qu’un journaliste résuma ainsi le lendemain « Adieu Strauss père ! Bonjour Strauss fils ! »

Informé, Strauss père, qui n’a nullement envie de prendre sa retraite, entre dans une violente colère et l’on peut affirmer qu’il ne se réconcilia jamais totalement avec son fils, même s’il laissait paraître une certaine fierté lorsqu’on évoquait devant lui ses succès.

Quelques années plus tard (1849), âgé seulement de 45 ans, Strauss père meurt de la scarlatine. Schani réunit ses propres musiciens avec ceux de son père pour former un grand orchestre de cinquante instrumentistes. Pendant quatre ans, la « Sophiensaal » résonna au rythme des quelque 300 valses, galops, mazurkas et polkas écrites par Johann, nouvelle idole de Vienne !

Idole des Viennois, mais surtout des Viennoises ! Malgré ses nombreuses aventures, Johann est incapable de s’attacher à une seule femme : il garde son amour le plus pur, le plus profond pour sa mère Anna… Johann travaille beaucoup pour faire vivre sa mère et ses frères. Fatigué, il réfléchit longuement et pense qu’il ne pourra plus mener de front les carrières de compositeur et de chef d’orchestre. Il décide de confier la direction de son orchestre à son frère Josef qui consent à abandonner les études scientifiques qu’il avait entreprises.

Mais un directeur d’une compagnie de chemins de fer russe lui offre un imposant paquet de roubles pour lancer la nouvelle station mondaine de Pavlovsk ; il accepte sans hésiter.

En Russie, les triomphes se succèdent, tant à la cour impériale que dans les soirées populaires. L’idole des Viennoises devient l’idole des belles dames de Russie. Mais une idylle contrariée le fait revenir à Vienne où il oublie rapidement son chagrin dans le tourbillon de la vie mondaine de la capitale.

Le voici à nouveau amoureux, cette fois d’une chanteuse célèbre, Jenny Trefz, âgée de huit années de plus que lui. Le compagnon de cette dernière, le multimillionnaire Todesco accepte de rendre sa liberté à Jenny et même, la dote royalement ! Le mariage est célébré le 27 août 1862. Voilà Strauss définitivement à l’abri du besoin, il va pouvoir se livrer entièrement à la composition musicale.

C’est à Hietzing, le village de banlieue où Strauss a débuté, que le ménage s’installe, dans une somptueuse demeure. Les jours vont s’y écouler calmes, tranquilles, heureux. C’est de cette période que datent les grandes valses symphoniques de Strauss : « Le Beau Danube bleu », « Vie d’artiste », « Histoires de la forêt viennoise », « Aimer, boire et chanter », « La Valse de l’empereur », etc.

La musique de Strauss est célèbre dans le monde entier. Et voilà Strauss en France ! Il est présenté à l’Empereur et à l’Impératrice, Désormais, il n’y aura pas de soirée mondaine, pas de fête populaire sans Strauss et son violon.

Jusque-là, Strauss n’avait jamais témoigné un goût particulier pour l’art lyrique. C’est sûrement poussé par sa femme Jetty, et par Steiner, le directeur du théâtre An der Wien, qu’il finit par accepter de composer des opérettes. Steiner lui-même écrit le livret de Indigo et les quarante voleurs ( Indigo und die vierzig Raüber ). La création a lieu le 10 février 1871. L’accueil est réservé, mais suffisamment aimable pour que la pièce soit exportée vers Paris où elle sera créée en 1875 à la Renaissance sous le titre de La Reine Indigo.

En 1872, Strauss est en Amérique où il a été invité à Boston pour le Festival de la Paix. Il dirige de nombreux concerts. Il rentre à Vienne en 1873 : au théâtre An der Wien., première du Carnaval à Rome Der Karneval in Rom ), le 1° mars. Une opérette dont nous ne retiendrons que l’ouverture.

L’heure de la Chauve-SourisDie Fledermaus ) va sonner. La première a lieu à Vienne le 5 avril 1874. On s’attendait à un triomphe, mais le public ne réagit que mollement. Strauss fait jouer son opérette à Berlin où elle est accueillie avec succès et La Chauve-Souris peut regagner Vienne en triomphatrice.

Cette opérette demeure la grande réussite lyrique de Johann Strauss, une réussite qu’il ne retrouvera qu’avec Le Baron tzigane Der Zigeunerbaron ), mais avec moins d’éclat.

À Paris Meilhac et Halévy interdisent l’utilisation du livret, ce qui a pour conséquence l’écriture d’un nouveau texte qui n’a plus rien à voir avec l’original. Parallèlement, la musique est « tripatouillée » et apparaît plus dansante que chantante (Renaissance, 1877). Le succès est éphémère malgré la présence de Zulma Bouffar.

Ce n’est qu’en 1904, aux Variétés, que La Chauve-Souris, présentée enfin dans sa version originale, traduite par Paul Ferrier, remportera un succès qui ne s’est jamais démenti depuis.

À Vienne, création le 27 février 1875 de Cagliostro à Vienne Cagliostro im Wien ).Infidèle pour une fois au théâtre An der Wien, c’est au Carl-Theater que Strauss présente son Prince MathusalemPrinz Methusalem ) le 3 janvier 1877 dont il restera une valse « Joli mois de mai » et un quadrille qui fera le tour du monde sous le nom de « Bal masqué à l’Opéra ».

Pendant toutes ces années brillantes, mouvementées, le ménage Strauss parait se maintenir… mais Jetty vieillit et Johann, de huit ans plus jeune, manifeste de plus en plus de goût pour les jeunes interprètes de ses opérettes. Le 9 avril 1877, il découvre sa femme morte d’une congestion. Ne pouvant supporter l’idée même de la mort, il s’enfuit en Italie, laissant son frère Edouard enterrer la malheureuse Jetty.

Johann rentre à Vienne pour assister à la première de Colin-Maillard Blindekuh) le 18 décembre 1877. Il mène maintenant une existence sans intérêt, sans but, allant d’aventures amoureuses sans lendemains en aventures sensuelles insipides. C’est alors que cet homme de 53 ans rencontre Angelika, jeune personne de 26 ans, rencontrée au hasard d’un voyage. Le mariage a lieu le 27 mai 1878.

Angelika avait un désir secret : monter sur les planches ! Strauss feint d’accéder à ce désir… la jeune femme se révèle rapidement aussi mauvaise chanteuse que médiocre comédienne. Alors, elle se met à jalouser la gloire de son mari et elle commence à s’ennuyer. Elle devient la maîtresse de Steiner. Strauss pardonne aux deux coupables et rend la liberté à Angelika.

Le 1° octobre 1880, création du Mouchoir de la reineDer Spitzentuch der Königin ) au théâtre An der Wien. Sur la même scène, le 25 novembre 1881 : La Guerre joyeuseDer lustige Krieg ) avec la « Valse des baisers » et la « Marche des Habsbourg ».

Strauss rencontre une jeune veuve de 21 ans, Adèle, qui par le plus grand des hasards s’appelait également Strauss. Il l’épouse le 15 août 1883 après avoir divorcé d’Angelika.

Strauss, tout à son nouveau bonheur, parait avoir recouvré sa jeunesse ; il se met à pratiquer les sports, particulièrement l’équitation, afin de conserver sa ligne ; il va jusqu’à faire teindre ses cheveux et s’habille à la dernière mode.

Strauss était devenu l’ami intime de Brahms et cette amitié devait couronner les dernières années heureuses d’une existence hors de pair. Dans son petit cercle d’amis, entretenu par l’affection d’Adèle, Strauss vivait quiètement, en se faisant à l’idée de vieillir.

Toujours à la recherche d’un succès comparable à celui de la Chauve-Souris, Strauss ne cessait de composer des opérettes. C’est au Friedrich-Wilhelmstrasse de Berlin qu’il présente, le 3 octobre 1883, l’une de ses meilleures partitions, Une nuit à Venise Eine Nacht in Venedig ).

Au théâtre An der Wien, le Baron tzigane Der Zigeunerbaron ) voit les feux de la rampe le 24 octobre 1885. C’est le deuxième grand succès lyrique de Johann Strauss. Paris l’applaudira en 1895 à La Renaissance.

Suivront plusieurs ouvrages que nous ne citerons que pour mémoire, bien qu’ils contiennent tous des pages de grande valeur : Simplizius (1885), un véritable opéra, Le Chevalier PazmanRitter Pazman ) (1892), Ninetta (1893), Jabuka (1894), Le Maître de la forêtDer Waldmeister ) (1895), La Déesse Raison Die Göttin der Vernunft ) (1897).

Le 22 mai 1899, Strauss prend froid en dirigeant une représentation de La Chauve-Souris. Il s’alite et le 3 juin au matin il s’éteint dans les bras d’Adèle.

Résumé d’un grand article de Guy Lafarge paru dans le n° 46 d’« Opérette »

— Références
Vous retrouverez les Strauss dans « Opérette » n° 46,  111, 112, 113 & 114. Si l’un de ces articles vous intéresse, vous pouvez le consulter en allant sur notre page « Revue “Opérette” »
Fiches disponibles: Le Baron Tzigane, La Chauve-Souris, Valses de Vienne

— Œuvres lyriques
Légende : opé = opérette, ob = opéra-bouffe, o = opéra,  cm = comédie musicale, vf = version française, vo = version originale, C: = création
Le chiffre indique le nombre d’actes. – « opé 1/3 » veut dir « opérette en 1 acte et 3 tableaux »

Œuvres représentées en français

Création Titre Auteurs Nature Lieu de la création
1875
27 avr
Reine Indigo (La) Jaime fils (Adolphe), Wilder (Victor) opé 3 Paris, Renaissance
vo: Vienne 1871
[Indigo und die vierzig Räuber]
1877
30 oct
Tzigane (La)
[1° vf de Die Fledermaus]
Wilder (Victor), Delacour (Alfred) oc 3 Paris, Renaissance
vo: Vienne 1874 [Die Fledermaus]
2° vf: Paris 1904 [La Chauve-Souris]
1883 Mouchoir de la Reine (Le) [Das Spitzentuch der Königin] ? opé ? vf?
vo: Vienne 1880
1885
19 nov
Guerre joyeuse (La)
[Der lustige Krieg]
Hennequin (Alfred) opé 3 Belgique, Bruxelles, Alcazar
vo: Vienne 1881
1895
20 déc
Baron Tzigane (Le)
[Der Zigeunerbaron]
Laffrique (Armand) opé 3 Paris, Folies-Dramatiques (r. de Bondy)
vo: Vienne 1885
1904
22 avr
Chauve Souris (La)
[Die Fledermaus]
Ferrier (Paul) opé 3 Paris, Variétés
2° vf. de Die Fledermaus
vo: Vienne 1874
1° vf: 1877 [La Tzigane]
1930
19 mars
Nuit à Venise (Une)
[Eine Nacht in Venedig]
? opé 3 Monte-Carlo
vo: Berlin 1883
vf: Strasbourg 1950
1934
22 déc
Jolies Viennoises (Les) [1] Mauprey (André) opé 3 Paris, Trianon-Lyrique
vo: Vienne 1899 [Wiener Blut]
1950 Nuit à Venise (Une)
[Eine Nacht in Venedig]
? opé Strasbourg
vo: Berlin 1883
vf: Monte-Carlo 1930

[1] posthume, musique arrangée par Müller Jr (Adolf)

Versions originales ou œuvres non représentées en français

Création Titre Auteurs Nature Lieu de la création
1871
10 fév
Indigo und die vierzig Räuber
[Indigo et les 40 voleurs]
[1° vers.]
Steiner (Maximilian), Felix (Hugo) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
2° vers.:Vienne 1906 [1001 Nacht]
vf: Paris 1875 [La Reine Indigo]
1873
1° mars
Karneval in Rom (Der)
[Le Carnaval à Rome]
Braun (Josef), Zell (Friedrich), Genée (Franz-Richard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1874
5 avril
Fledermaus (Die)
[La Chauve Souris]
Haffner (Karl), Genée (Franz-Richard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1° vf: Paris 1877 [La Tzigane]2° vf: Paris 1904 [La Chauve-Souris]
1875
27 fév
Cagliostro im Wien
[Cagliostro à Vienne]
Zell (Friedrich), Genée (Franz-Richard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1877
3 janv
Prinz Methusalem
[Prince Mathusalem]
Treumann (Karl), Wilder, Delacour opé 3 Autriche, Vienne, Carltheater
1878
18 déc
Blindekuh
[Colin-Maillard]
Kneisel (Rudolf) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1880
1° oct
Spitzentuch der Köningin (Das)
[Le mouchoir de la Reine]
Bohrmann-Riegen (Heinrich), Genée (Franz-Richard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
vf: 1883 ?
1881
25 nov
Lustige Krieg (Der)
[La guerre joyeuse]
Zell (Friedrich), Genée (Franz-Richard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
vf: Bruxelles 1885
1883
3 oct
Nacht in Venedig (Eine)
[Une Nuit à Venise]
Zell (Friedrich), Genée (Franz-Richard) opé 3 Allemagne, Berlin, Friedrich-Wilhelm Städtischetheater
vf: Monte-Carlo 1930
vf: Strasbourg 1950
1885
24 oct
Zigeunerbaron (Der)
[Le Baron Tzigane]
Schnitzer (Ignaz) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
vf: Paris 1895
1887
17 déc
Simplizius Léon (Victor) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1892
1° janv
Ritter Pázmán
[Le chevalier Passman]
Doczy (Lajos), Arany (János) o 3 Autriche, Vienne, Hoftheater
1893
10 janv
Fürstin Ninetta Wittmann (Hugo), Baver (J.) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1894
12 oct
Jabuka, oder Das Apfelfest Kalbeck (Max), Davis (G.) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1895
4 déc
Waldmeister (Der)
[Le maître de la forêt]
Davis (G.) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1897
13 mars
Göttin der Vernunft (Die)
[La Déesse Raison]
Willner (Alfred-Maria), Buchbinder (Bernhard) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
1899
26 oct
Wiener Blut
[Sang Viennois] [1]
Léon (Victor), Stein (Leo) opé 3 Autriche, Vienne, Carltheater
vf: Paris 1934 [Les jolies viennoises]
1902
5 juil
Gräfin Pepi
[La Comtesse Pepi] [mélange de Simplizius et de Colin-Maillard] [2]
Léon (Victor) opé 3 Autriche, Vienne, Sommertheater « Venedig in Wien »
1906
juin
1001 Nacht [Mille et Une Nuits]
[2° vers.][3]
Stein (Leo), Lindau (Carl) opé
1/3
Autriche, Vienne, Sommertheater « Venedig in Wien »
1° vers.: Vienne 1871 [Indigo und die vierzig Räuber]
vf :Paris 1875 [La Reine Indigo]
1909
30 déc
Reiche Mädchen
[nouvelle version de Die Göttin der Vernunft]
Stollberg (Ferd.) opé 3 Autriche, Vienne, Raimundtheater
? Romulus ? opé 1° acte seul achevé
? Lustige Weiber von Wien (Die)
[Les Joyeuses commères de Vienne]
? ? non représenté

[1] posthume, musique arangée par Müller Jr (Adolf)
[2] posthume, arrangée par Reiterer (Josef)
[3] posthume, arrangée par Reiter (Ernst)

Autres ouvrages

Le tableau ci-dessous recense des ouvrages (posthumes) qui ne sont pas, à proprement parler, de Johann Strauss II. Les musiciens cités ont utilisé partiellement ou totalement des musiques de Strauss, en y adjoignant parfois leurs propres compositions

Création Titre Musiciens Auteurs Nature Lieu de la création
1921
25 mai
Faschingshochzeit Strauss II (Johann),  arrangée par Klein(Joseph) Friedmann (Oskar), Lunzer (Fritz) opé 3 Autriche, Vienne, Carltheater
1928
1°sept
Casanova Benatzky Ralph), d’après des airs de Strauss II(Johann) Muller (Hans) opé Allemagne, Berlin, Grosses Schauspielhaus
[Vienne, Volksoper 10 oct 1935]
1931
18 mai
Walzer aus Wien
[Valses de Vienne]
Strauss I et II (Johann), arrangement  Korngold (Eric Wolfgang), Bittner (Julius) Willner (Alfred-Maria), Reichert (Heinz), Marischka (Ernst &Hubert) opé 3 Autriche, Vienne, Theater an der Wien
vf: Paris 1933
1933
21 déc
Valses de Vienne
[Walzer aus Wien]
Strauss I et II (Johann), arrangement  Korngold (Eric Wolfgang), Bittner (Julius) Mouézy-Eon (André), Marietti (Jean), Eddy (Max) opé 3 Paris, Porte-St-Martin
vo: 1931
1934
22 sept
Great waltz (The) Strauss II (Johann) adaptation Carter (Desmond), Hart (Moss) cm USA, New-York, Center Theatre
1934
22 déc
Tänzerin Fanny Elssler (Die) Strauss II (Johann), musique arrangée par Grün (Bernard) et Stalla(Oskar) Adler (Hans) opé 3 Allemagne, Berlin, Deutschestheater
1935
5 oct
Drei Walzer
[Trois Valses]
Straus (Oscar), Strauss I & II (Johann) Knepler (Paul), Robinson opé 3 Suisse, Zürich
vf: Bruxelles 1936
vf: Paris 1937
1936 Trois valses
[Drei Walzer]
Straus (Oscar), Strauss I & II (Johann) Marchand (Léopold), Willemetz (Albert) opé 3 Belgique, Bruxelles
vo: Zürich 1935
vf: Paris 1937
1937
21 avr
Trois valses
[Drei Walzer]
Straus (Oscar), Strauss I & II (Johann) Marchand (Léopold), Willemetz (Albert) opé 3 Paris, Bouffes-Parisiens (Choiseul)
vo: Zürich 1935
vf: Bruxelles 1936
1965
27 juil
Great waltz (The) Strauss I & II (Johann),  adapté par Wright (Robert), Korngold (Erich Wolfgang),Forrest (George) Chodorov (Jerome) , Brown (Forman) cm USA, Los Angeles, Music Center
[Londres, Drury Lane, 9 juil 1970]
1967
25 nov
Vienne chante et danse Ledru (Jack),Strauss I et II (Johann) Varna (Henri), Marc-Cab, Richard (René) opé 2 Paris, Mogador
1994
12 jan>
Sissi Impératrice Motta (Guy), airs add. Strauss II (Johann) Dufresne (Claude), Béranger (Philippe) opé 2 Paris, Trianon

Dernière modification: 29/02/2024

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